Il a décidé de descendre personnellement sur le lieu du drame ; là où les humains, en quête de survie pour leurs familles et dépendants brave les eaux, les serpents de mer et le crocodiles ; pour partager la souffrance avec les habitants de son fief électoral et de tout une province.Christian Kitungwa Muteba, député national et candidat gouverneur de la province du Tanganyika aux élections qui se profilent à l’horizon, précisément au 29 avril de l’année en cours, est allé au couloir des lamentations, le point qui coupe la communication entre les deux rives de la ville de Kalemie par la Lukuga ; la rive droite du fleuve sous d’autres cieux et rivière à Kalemie vue les potentialités hydrauliques au Pays.
Et c’est pratiquement devant une passivité des ayant pouvoir que le surnommé Magufuli congolais et influent homme politique au Tanganyika, Christian Kitungwa Muteba, s’est investi à plaider pour la cause de sa base.
L’œil et oreille de Danny Banza Maloba dans le Grand Katanga et aussi « l’incarnation de la vision du Chef de l’État » Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, comme scandé par les multitudes au niveau de la place Marché des Réfugiés et Espace blessing, a plaidé pour des solutions urgentes sur la situation qui affecte l’économie et le quotidien de toute une province.Christian Kitungwa, clairvoyant et préventif a parlé à l’immense foule mobilisée de manière spontanée au LAC sans nom exact ou catholique, surtout que certains l’associent à un camp gouvernemental.
Écoute, partage, l’honorable Christian Kitungwa Muteba a embarqué à bord d’une pirogue avec des passagers. Oui, pirogue sur la route.
Ce qui est une insolite et réalité de triste mémoire pour le chef-lieu de la province du Tanganyika.Provoqué par les médias sur l’influence politique dans la course vers le gouvernorat, Christian Kitungwa a loué la sagesse du Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo qui a dit, d’après Kitungwa, « que le meilleur ‘el’emporte.Pour lui, l’union sacrée dans le Tanganyika n’a aucun Ticket Gagnant ».
La haute autorité politique aurait laissé libre choix aux et mains libres aux députés d’élire les animateurs de la gestion dans la cité.