Initialement prévue pour le 3 janvier 2024 sur le calendrier de la commission électorale nationale indépendante, l’annonce des résultats pour les scrutins législatifs se fait encore attendre et le suspens s’agrandit dans le camp des concernés.

Des rumeurs et des ergots prennent de l’ampleur sur la place publics, des spéculations sur les potentiels heureux élus et des candidats tombés en échecs courent sur les avenues avant même que la CENI ne puisse dévoilé les vérités de ses compilations.

Suite à la clameur publique dénonçant la détention des machines à voté par certains candidats, plus de 80 ont été invalidés par la centrale électorale figure quelques figures de proue dont certains ont été des ministres par le passé à l’instar de Tryfon Kinkey Mulumba, Didier Manzenga actuellement ministre du Tourisme au plan national et l’on avance également les noms des gouverneurs en fonction comme Gentiny Ngobila de Kinshasa.

Parmi des figures emblématiques invalidées, le député national Nsingi Pululu est également cité.

C’est élu de Kinshasa est le porteur du projet de loi portant verrouillage des certaines institutions et services étatiques dits de souveraineté notamment la présidence de la République qui doivent, d’après son initiateur Noël Tshiani, revenir aux personnes nées de deux parents tous congolais, le fameux *De Père et de Mère* .

La CENI a par ailleurs indiqué que les résultats annoncés pour la présidentielle consacrant la victoire du candidat Félix-Antoine Tshisekedi n’ont pas tenu compte des bulletins issus des machines détenues frauduleusement.