Après la fête de la nativité célébrée par plusieurs églises chrétiennes et par d’autres individus, place à une grande célébration planétaire, la fête de Nouvel An 2024.
Sont nombreux, ces habitants du Monde, de l’Afrique, de la République Démocratique du Congo, et de la province du Tanganyika et particulièrement de son chef-lieu Kalemie qui désirent passer des moments plus spéciaux, occasion pour les uns de glorifier la source de vie pour leur avoir prêté la chance de franchir les douze mois de l’année écoulée pour souffler l’air d’une nouvelle année.
En prélude , chacun se fait une idée sur comment il préfère passer cette si spéciale occasion mais ce rêve ne suffit pas, les moyens pour sa matérialisation comptent le plus.
Aux approches de la date du 1er janvier 2024, plusieurs parents principalement partagent une chanson, l’insuffisance en moyens financier.
La force économique s’accuse faible chez plusieurs responsables des ménages pour passer ces festivités de fin d’année et de Nouvel An comme ils le souhaitent.
Certains parents de Kalemie gardent encore espoir et jurent de rester optimistes jusqu’aux derniers instants.
Traditionnellement, sont nombreux ces parents qui préfèrent payer pour leurs dépendants des habits neufs, leur offrir des repas copieux et partager des moments de gaieté avec des proches à cette occasion.
À Kalemie comme sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo, les festivités précitées pour ces éditions se déroulent dans un contexte particulier.
En dehors de l’inflation issue de la pandémie de coronavirus de triste mémoire et de la guerre Russo Ukrainienne, les congolais célèbrent dans la fièvre électorale.
Les citoyens les plus gâtés et les mieux traités de la République, dans leur majorité, ont tellement bougé leurs comptes en banque pour battre campagne en quête des postes du Président de la République ou de représentant du peuple en tant que député national, député provincial ou conseiller municipal.
Le sort n’étant pas encore connu sur ceux qui mériteront la manne dans un pays où trois quart du budget national est alloué aux institutions, logique que les gâtés de la République bloquent les mouvements de leurs comptes en attente de la proclamation des résultats.
En conséquence, la circulation fluide de la monnaie est encore à attendre pour ceux qui dépendent complètement de gâtés de la République alors autant fêter à hauteur de moyens en sa possession car après la célébration de Nouvel An, le soleil continuera à se lever et se coucher. La vie va donc se poursuivre.