Après la clameur publique relayée entre autres par des médias locaux, les lieux d’aisance de fortune érigés au poste de la police du Groupe Mobile d’Intervention viennent d’être démolies.
Les habitants ont dénoncé l’exposition de la santé de la population par ces toilettes construites juste au bord de la rivière Lukuga et dont les égouts étaient orientés directement dans la rivière. Situation mal digérée par les habitants, principalement les riverains qui font plusieurs usages avec de l’eau puisée dans la rivière. Leur cri a finalement été entendu par les autorités de la ville qui ont ordonné la destruction des ces installations pour des raisons hygiéniques.
Quid de l’après exécution de la mesure? Des dispositions pour permettre aux éléments de la police qui montent la gardent et aux personnes en détention de satisfaire leurs besoins physiologiques?
Paramètres qui sont à prendre en compte pour ne pas remédier à un mal en créant un autre.