Le CSAC vient d’affirmer avoir enclenché une action en justice après des faits d’agression violente la nuit de samedi à dimanche sur le patron du CSAC (conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication du Congo, en mission officielle à Paris. Selon l’information, le passage à Tabac de christian Bosembe a été perpétré par une meute des congolais de la Diaspora dénommée « combattants », violents et très hostiles au régime de Kinshasa. Ces bourreaux reproches la victime pour sa proximité au pouvoir en place en RDC.
Le rapporteur du CSAC dénonce une « tentative de meurtre » sur christian Bosembe. Des images terrifiantes de la scène ont été visionnées et relayées sur la toile.
Cette institution d’appui à la démocratie (CSAC) fustige cet acte odieux et demande auprès de la France des explications claires.
« Qu’un président d’une institution d’appui à la démocratie ait été agressé brutalement et lâchement, sans qu’aucune intervention ne soit menée, alors que le président Christian Bosembe est en mission officielle, en concertation avec des autorités françaises. C’est très choquant. Il a même été étouffé. C’était une tentative de meurtre sur un officiel de la RDC […] Le CSAC exige des autorités françaises des clarifications, des enquêtes, pour arrêter, juger et condamner les auteurs de ces crimes. Condamnation jusqu’au refoulement de ces professionnels du chaos que la France héberge afin qu’ils puissent également venir subir la rigueur de la loi, ici en RDC »
Se livrant sur RFI, christian Bosembe attend que la justice Française face son travail. « L’agression a été filmée par les agresseurs, les auteurs sont connus. Il faut qu’ils soient arrêtés et poursuivis », a declaré christian Bosembe sur RFI




